386 Results

zenati

Search

Le Ramadan est un mois de jeûne qui a pour vocation de rassembler les cœurs et les musulmans. Que l’on opte pour le calcul ou pour la vision, ce choix ne doit en aucun diviser les musulmans. Cette vidéo vient apporter des précisions sur la divergence qui existe entre les partisans du calcul et ceux de la vision. La divergence ne doit pas être synonyme de division, mais il appartient au musulman de la comprendre pour mieux orienter son choix, d’où cette intervention de cheikh Moncef Zenati, qui apporte une analyse complète sur le sujet. L’utilisation du calcul astronomique pour déterminer le début du mois de Ramadan et le début de tous les autres mois lunaires de façon générale, est un avis religieusement fondé. Il est conforme à la Sunna contrairement à ce que certains avancent. Beaucoup de personnes parlent d’un consensus sur la vision de la nouvelle Lune à…

Dans cette vidéo, Cheikh Moncef Zenati nous explique l’importance des critères dans le choix du conjoint. Ainsi, il évoque le cheminement que chacun doit avoir pour arriver à choisir son/sa conjoint(e). Pourquoi se marier ? Avec qui se marier ? Comment choisir ? Sur quels critères ? Avec quels objectifs ? Autant de questions auxquelles Cheikh Moncef Zenati répond, pour nous aider à cerner au mieux le sujet du mariage.

Médine, la ville du Prophète (saws), regorge de trésors. Lors de la Omra organisée par Havre De Savoir en février 2014, cheikh Moncef Zenati nous a emmené à la découverte de lieux insolites, inconnus du grand public. Ici, la mosquée de la gratitude appelée aussi mosquée de la prosternation. Il y a quatorze siècles, le Prophète (saws) s’est arrêté à cet endroit qui était un jardin, le compagnon Abderahmane Ibn ‘Awf nous raconte l’histoire de ce lieu original.

Medine et ses trésors cachés. Ici, nous sommes devant un lieu hautement symbolique et historique. La mosquée de l’exaucement à Medine est un endroit particulier où le Prophète (saws) s’est rendu de son vivant. En ressortant de cette mosquée le Prophète  (saws) raconte avoir fait trois invocations à Allah le Très Haut. Deux invocations ont été exaucées par Allah, alors que la troisième ne le sera pas. Quelles étaient ces invocations ? La réponse en images par cheikh Moncef Zenati.

Nous sommes sur le mont des archers à Uhud. Ici s’est déroulée la deuxième bataille des musulmans. Après avoir remporté la première bataille à Badr contre les mecquois, les musulmans connaissent leur première défaite à Uhud. Sept cents musulmans vont affronter trois milles mecquois, et alors qu’ils sont sur le point de remporter la bataille, la désobéissance d’une partie des musulmans apportera une défaite sanglante. Sanglante car de nombreux martyrs tombent à Uhud, dont l’oncle du Prophète (saws) Hamza. Revivez cette célèbre bataille dans les moindres détails grâce à cette intervention de cheikh Moncef Zenati, filmée lors de la Omra organisée par Havre De Savoir en février 2014.

L’islam est la voie divine que Dieu a instaurée et agréée pour Ses serviteurs. De ce fait, les sources et les références de cette religion ne peuvent être que divines. Aussi, Le saint Coran et la Sunna pure sont les deux sources principales pour toute personne désireuse de connaître les règles de l’islam. On peut même considérer qu’il ne s’agit que d’une seule source et d’une seule référence, à savoir la « Révélation », laquelle comprend deux branches : – La révélation manifeste « Al-wahyu Al-jaliyy » dont la simple récitation constitue un acte cultuel en soi. Cette forme de révélation correspond au Coran. – La révélation non manifeste « Al-wahyu ghayru Al-jaliyy » dont la lecture n’est pas en soi un acte cultuel. Il s’agit de la « Sunna ». La « Sunna » occupe la seconde position, après le Coran, par ordre d’importance comme source du droit musulman. Cette vérité est un élément essentiel et fondamental de la religion…

 Il est incontestable que les Arabes avant l’Islam et aux premiers temps de l’Islam n’avaient pas de connaissance scientifique exacte de l’astronomie. Ils étaient un peuple illettré, ne sachant ni écrire ni calculer. Ceux qui avaient quelque connaissance de l’astronomie n’en possédaient que des rudiments déduits par l’observation ou par la transmission orale sans être fondés ni sur des règles mathématiques ni sur des arguments catégoriques fondés sur des prémisses incontestables. C’est pourquoi, le Prophète (saws) a fixé comme la référence permettant de déterminer le début du mois pour la pratique religieuse, un moyen que l’on observe d’une manière incontestée qui était à la porté de tous ou de la plupart d’ente eux, à savoir, la vision de la nouvelle lune à l’œil nu. Ceci était plus sage et plus à même à déterminer avec précision les temps légaux des rites et des pratiques religieuses. C’était le seul moyen dont…

Je ne trouve rien dans la divergence des savants de la « shari’a » contemporains de plus étonnant que le leur extrême divergence, qui n’a pas lieu d’être, sur la prise en compte du calcul astronomique, à notre époque, pour déterminer le début du mois lunaire. Oui, j’insiste sur « à notre époque », car, effet, je ne m’étonne pas de la position négative des savants parmi nos prédécesseurs à l’égard de la prise en compte du calcul astronomique dans ce sujet. Au contraire, si je vivais à cette époque, j’aurais dit certainement la même chose. Par contre, je m’étonne de la position négative des hommes religieux à notre époque dont les savants ont exploré les horizons de l’espace et dont les réalisations les plus banales sont le fait d’avoir marché sur la lune, la mise des satellites sur orbites autour de la terre pour diverses raisons : scientifiques, militaires ou d’espionnage, puis la réalisation…