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Les musulmans célèbrent deux fêtes religieuses dans l’année : « ‘Aïd à al-fitr » (la fête de la rupture du jeûne annonçant la fin du mois de Ramadan) et « ‘Aïd al-adha » (la fête du sacrifice en commémoration du sacrifice du Prophète Ibrahim, que la Paix de Dieu soit sur lui). S’il y a deux fêtes en islam, cela ne veut pas dire que le musulman n’a le droit de célébrer aucun autre événement dans l’année. Bien évidemment, il n’y a rien de cultuel à fêter Al Mawlid, c’est à dire la naissance du Prophète (saws). Bien qu’il existe une divergence sur le fait que le Prophète (saws) soit né le 12 Rabi’a al Awal, il n’en demeure pas moins que le musulman peut saisir cette occasion pour réunir ses proches et discuter autour du Prophète (saws). Toutes les occasions pour parler du Prophète (saws), le connaitre et l’aimer,…

Alors que certains résistent pour défendre la légitimé et sacrifient leurs vies pour faire respecter la volonté du peuple exprimée par les urnes, d’autres installés confortablement chez eux rejettent farouchement le concept de la démocratie. La démocratie contredirait à leurs yeux les enseignements de l’islam. La démocratie est assimilée au « kufr », elle serait même contradictoire avec le « tawhid ». La démocratie est une idole, le « taghut » ! Ils jettent l’anathème sur quiconque appellerait à la démocratie. Pour se justifier, ils avancent que la démocratie signifie que le pouvoir est au peuple, or en islam, le pouvoir appartient à Dieu et « le jugement n’appartient qu’à Dieu » (6 :57). De plus, la démocratie est un système importé de l’occident mécréant, or, il nous est interdit d’importer un système inventé par les « kuffars ». Cheikh Moncef Zenati prend donc le temps de redéfinir ce qu’est…

La conception du fœtus et le destin Ibn Mas’oud (rad) dit : « Le Messager Dieu (saws), lui qui est le véridique ,le digne d’être cru, nous a tenu propos en ces termes : « La conception de chacun d’entre vous, dans le ventre de sa mère, s’accomplit en quarante jours ; d’abord sous la forme d’une semence (notfa), puis sous celle de « ‘alaqa » (adhérence) pour une même période, puis sous celle de « modgha » (morceau de chair mâché) pour une même période. Enfin, un Ange lui est envoyé, il y insuffle l’âme et reçoit l’ordre d’inscrire quatre choses à savoir : ce qui lui est imparti comme biens, délai de sa vie, actes et condition heureuse ou malheureuse. Par Dieu, en dehors duquel il n’est pas de divinité, l’un de vous accomplit des actes comme en font les gens du Paradis au point qu’il ne reste plus entre lui et le Paradis qu’une coudée ; c’est alors qu’il est devancé…

Mohamed Taher ibn ‘Ashour considère que la liberté est une finalité de la « shari’ a » qui découle de l’égalité. En effet, si la « shari’a » établit l’égalité, cela implique que ces êtres égaux soient tous libres. Il n’est pas permis que certains soient plus libres que d’autres et que certains soient moins libres que d’autres. Il dit : « S’il est établi que le principe dans la création est l’égalité, il en découle que l’égalité soit l’une des finalités majeures et fixes de la « shari’a ». Et puisque les êtres égaux sont libres, alors la liberté est une finalité de même que l’égalité ». Il déclare aussi que l’égalité et la liberté sont une conséquence de la « fitra », l’aspiration naturelle ou la nature innée que Dieu a dotée à Ses créatures. Il dit aussi : « la généralité de la « shari’a » implique l’égalité, et l’égalité implique la liberté. Ainsi, la généralité de la « shari’a » signifie que tous les gens résidents…

Il faut suivre les « salafs » ! Untel est du « minhaj » (voie) ! untel n’est pas du « minhaj » ! Tel savant fait partie de ahl-as-sunna wal-jama’a, l’autre pas ! Autant d’expressions qui interviennent dans les discussions sans en définir le sens véritable. Sans même le définir, ce fameux « minhaj » est devenu un artifice d’exclusion. Le minhaj, c’est la voie des « salafs » diront certains, c’est comprendre le Coran et la Sunna selon la compréhension des salafs. Mais qui sont les « salafs » et quels sont les contours de cette compréhension ? Cheikh Moncef Zenati répond à ces questions.

À une époque où les divorces sont de plus en plus nombreux, les musulmans devraient prendre d’avantage exemple sur le Prophète (saws) et la manière dont il s’occupait de son foyer. C’est donc à travers des exemples de la Sira du Prophète (saws) et des récits des compagnons, que cheikh Moncef Zenati établit dans cette vidéo 5 clefs pour vivre le bonheur conjugal, chose à laquelle nous aspirons tous. 1) La première clef incombe à l’homme, qui doit faire preuve d’amour et tendresse envers sa femme. Il doit essayer d’avoir la meilleure attitude à son égard. 2) La seconde incombe à la femme qui doit soutenir son mari et éviter de faire trop de reproches. 3) La troisième clef appartient aux deux. Il faut avoir un projet commun et se fixer des objectifs pour cheminer ensemble vers le Paradis. Ce projet doit impérativement être lié à l’au delà. 4) La…

‘Abdoullah ibn ‘Omar dit : « J’ai entendu le Messager de Dieu dire : « Les fondements de l’islam sont au nombre de cinq : L’attestation qu’il n’est de dieu que Dieu et que Mohammad est le Messager de Dieu, l’accomplissement de la Prière, l’acquittement de la zakat, le Pèlerinage à la Maison sacrée et le jeûne du mois de Ramadan » (rapporté par al-Boukhari et Mouslim). Commentaire : Ce hadith indique que l’islam est fondé sur ces cinq éléments qui sont pour l’islam ce que sont les piliers pour une construction. L’islam est l’édifice, les piliers de cet édifice sont ces cinq éléments sans lesquels il ne peut tenir et tous les autres éléments de l’islam viennent compléter cet édifice. Si l’un de ces derniers éléments manque, l’édifice se trouve diminué, mais demeure maintenu et ne s’effondre pas à cause de ce manquement. Contrairement au manquement de ces cinq piliers, lorsqu’ils font défaut, l’ensemble de l’édifice – c’est-à-dire…