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Etant donnée la place réservée aujourd’hui à la femme dans certains pays, et l’attribution à tort, à l’Islam, de plusieurs injustices commises à son égard, il est intéressant de connaître quels étaient la place et rôle de la femme dans la Sira du Prophète (saws). La vérité sur la place de la femme en politique, dans le domaine scientifique, de la prédication et dans le djihad doit être rétablie. Cheikh Moncef Zenati, à travers des exemples pratiques présente plusieurs portraits féminins et décrit leur rôle dans la Sira du Prophète (saws). Khadija, ‘Aicha, ou Noussayba… Découvrez les histoires de ces femmes hors du commun.

Le monde fête aujourd’hui la journée de la femme. C’est une occasion pour parler de la femme ; des droits de la femme. Quel est donc la position de l’islam vis-à-vis de la femme ? Quel regard portent les musulmans sur la femme ? Qu’en est-il de la femme musulmane aujourd’hui, dans les pays musulmans, mais aussi dans notre pays la France ? L’islam est venu changer le regard que portait le monde entier sur la femme. En effet, pendant la période préislamique en Arabie, la femme était un objet qu’on héritait comme n’importe quel meuble de la maison. Chez les grecs, on vendait et achetait la femme. Chez les romains, elle était constamment sous tutelle étant donné qu’elle ne jouissait pas de toutes ses capacités mentales. En France, les ecclésiastiques se réunirent lors du concile de Macon en 586 pour discuter autour de la question de savoir si la femme avait une âme.…

D’après Tamim ad-Dari (ra), le Prophète (saws) dit : « La religion, c’est le bon conseil « an-naçiha » Nous dîmes : « Envers qui ? » Il dit : « Envers Dieu, Son Livre, Son Messager, les dirigeants des musulmans et l’ensemble de la communauté musulmane » » (rapporté par Mouslim) Ce hadith est un hadith succinct et hautement éloquent. Il est l’un des hadiths sur lequel est fondé l’islam. At-Tabarani rapporte d’après Houdhayfa ibn al-Yaman (ra) que le Prophète (saws) dit : « Quiconque ne porte pas d’intérêt à la situation des musulmans n’est pas de leur nombre, et quiconque n’est pas de bon conseil, matin et soir, pour Dieu, Son Messager, Son Livre, leurs dirigeants et l’ensemble des musulmans n’est pas de leur nombre ». L’imam Ahmed rapporte d’après Abou Oumama que le Prophète (saws) dit : « Dieu dit : « La chose la plus aimée de Moi à travers laquelle Mon serviteur M’adore est le bon conseil en vue d’obtenir Ma satisfaction » ». La religion, c’est « an-naçiha »  Cela signifie que « an-naçiha »…

L’école doctrinale matouridite est attribuée à Abou Mansour Mohamed al-Matouridi, qui était un savant hanafite. L’école matouridite s’est répandue en Asie Centrale, en extrême-orient et en Turquie. Ce qui est surprenant, c’est que l’école matouridite rejoint sur de nombreux points l’école ash’arite, alors que ces deux savants contemporains ont vécu à la même époque sans jamais se rencontrer. Cela prouve que ces deux écoles sont bien de l’orthodoxie sunnite « ahl as sunna wal jama’a ». Matouridi rejoint al-Ash’ari sur de nombreuses positions au point de dire qu’il ne l’a contredit que sur treize questions, développées ici par cheikh Moncef Zenati. Pour savoir ce qu’est le ash’arisme, voici un cours complet dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=5R_wAfD9wKQ

« Tu es certes d’une moralité éminente » Sa patience face à la persécution  Transmettre le message de son Seigneur ne fut pas sans peine. Le Prophète (saws) a dû endurer pour cela les persécutions, l’adversité, l’affamement, le bannissement, la moquerie et l’humiliation. Il endura tout cela avec patience et endurance et il enseigna ceci à ses disciples qui subirent le même sort. Mounabbit al-Ouzdi dit : «J’ai vu le Prophète (saws) en période de paganisme dire aux gens : « Dites : Il n’est de dieu que Dieu, vous connaîtrez le succès ! ». Des gens lui crachèrent au visage, d’autres lui jetèrent de la terre et d’autres l’insultèrent jusqu’à l’heure du midi. C’est alors qu’une femme vint à lui avec de l’eau. Il se lava le visage et les mains et dit : « Ma fille ne t’inquiète pas pour ton père ! ». C’était sa fille Zeyneb[1]». Assis à l’ombre de la Kaaba, pendant que le Prophète (saws) priait, les notables de…

La divergence est une richesse en Islam, tant que les avis qui divergent restent dans l’orthodoxie sunnite. Pourtant nombreux sont ceux qui incluent ou excluent leurs frères de leur conception d’ahl Sunna wa jama’a, dès lors que ces derniers suivent des avis qui divergent des leurs. Exclusion de l’autre et volonté de diviser sont autant d’élément qui font tomber certains musulmans dans la radicalité. Ces mêmes musulmans ont tendance à prétendre détenir le monopole de la bien guidance, et à définir de nombreuses pratiques profanes « d’innovations » (Bid’a). Or, la plus grande innovation, qui n’est pas conforme aux pratiques des salafs (les trois premières générations de l’Islam) serait justement d’exclure la divergence et d’imposer son avis. Cette vidéo a été tournée au cours du séminaire organisé par Havre de Savoir sur le sujet « Les voies su Sunnisme ». Cheikh Moncef Zenati est un spécialiste reconnu de la Sunna et de la Sîra…

En parfait modèle, le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soient sur lui, a montré une immense tolérance à l’égard de ceux qui ont préféré ne pas répondre à son appel et rester fidèles à leur croyance. Ceci s’est clairement manifesté tout d’abord à la Mecque, où le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soient sur lui, et les musulmans constituaient une minorité religieuse dans une société non-musulmane, puis à Médine à la tête d’une société musulmane comprenant une minorité non-musulmane. En effet, lors de sa préparation à l’émigration vers Médine, le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soient sur lui, chargea son jeune cousin ‘Ali ibn Abi Talib de rester à la Mecque, risquant sa vie, afin de remettre aux mecquois, alors non-musulmans, les dépôts que ces derniers lui confiaient en raison de la totale confiance qu’ils avaient à son…

An-Nou’man ibn Bashir (rad) dit : « J’ai entendu le Messager de Dieu (saws) dire : « Le licite est évident. L’illicite est évident. Entre les deux il est des choses qui suscitent le doute et que beaucoup de gens ne connaissent pas. Aussi, celui qui se garde des choses douteuses, a-t-il préservé, par la même, sa religion et son honneur. Et quiconque s’aventure dans les choses douteuses finit par commettre l’illicite. Tel le berger qui fait pâturer ses bêtes autour d’un enclos risquant d’y pénétrer. Or, tout souverain possède un domaine inviolable. Le domaine inviolable de Dieu correspond à ses interdits. Il y a certainement dans le corps un morceau de chair qui, s’il est sain, rend tout le corps sain ; mais, s’il est corrompu, tout le corps devient corrompu. Il s’agit du cœur » (rapporté par al-Boukhari et Mouslim). Commentaire : Ce hadith constitue l’un des fondements de la législation musulmane. Abou Daoud as-Sajistani dit : « L’islam tourne…