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Il est permis d’accepter des dons provenant d’individus, d’institutions ou de gouvernements, musulmans ou non musulmans, même si on est poussé à croire qu’ils s’agit d’argent illicite d’un point de vue islamique, sauf s’il s’agit  de biens illicites en soi tel que l’alcool ou le porc, car  accepter leurs donations est assimilé à l’acceptation du don « hiba ». Ceci est l’avis de la majorité des jurisconsultes « fouqaha ». Mais lorsque ces dons sont transférés aux musulmans, ils doivent être soumis aux lois musulmanes. Si les dons proviennent de non-musulmans, deux cas constituent une exception à l’acceptation : 1-             Si ce don provoque l’affaiblissement de la loyauté du musulman envers l’islam et les musulmans. 2-             Si le don est conditionné parce qu’il porterait préjudice aux intérêts des musulmans. (Cinquième session) Extrait du livre Fatwas contemporaines, compilées et traduites par Moncef Zenati, editions Havre De Savoir Ouvrage disponible ici sur notre Libraire en ligne.

Al-Hassan (rad) fils de ‘Ali (rad), petit fils du Messager de Dieu (saws) dit :  » J’ai retenu du Messager de Dieu (saws) : « Délaisse ce qui provoque en toi le doute pour ce qui ne suscite en toi aucun doute » (rapporté par an-Nasa-y et at-Tirmidhi qui le déclare  » valide-sûr bon » (hasan çahih))

L’Occident fête aujourd’hui les 67 ans de la création d’Israël sur la terre de Palestine. Au même moment, le monde Arabe et Musulman se rappelle avec tristesse les douleurs de la perte de cette terre, car en effet, en ce même jour (le 15 mai 1948) eut lieu la « nakba ». La création de cette entité ne fut pas une surprise. Ce fut le fruit d’une action minutieusement étudiée et planifiée par le mouvement sioniste, cinquante ans ou plus auparavant ; depuis la fondation de l’organisation sioniste mondiale par Theodor Herzl qui a exposé dans son livre « l’Etat des juifs » (le titre traduit en français est devenu « l’Etat juif ») les trois principes fondamentaux du sionisme que sont : l’existence d’un peuple juif ; l’impossibilité de son assimilation par d’autres peuples ; d’où la nécessité de créer un Etat particulier qui prenne en charge le destin de ce peuple. Herzl présida le congrès de Bâle, en…

Abou Hourayra (rad) rapporte que le Messager de Dieu (saws) dit : « Dieu est bon et n’accepte que ce qui est bon. Par ailleurs, Dieu a prescrit aux croyants ce qu’Il a prescrit aux Messagers en disant : « Ô Messagers ! Mangez de ce qui fait partie des bonnes choses et faites le bien »[1] et en disant : « Ô vous qui avez cru ! Mangez de ce qui fait partie des bonnes choses que Nous vous avons attribuées »[2]. Puis, il mentionna le cas de l’homme qui, prolongeant son voyage tout échevelé et poussiéreux, tend les mains vers le ciel : « Ô Seigneur ! Ô Seigneur ! » alors que sa nourriture est illicite, sa boisson illicite, ses vêtements illicites et qu’il se nourrit de choses illicites, comment serait-il exaucé ? » (rapporté par Mouslim) Commentaire L’expression «  Dieu est bon » est également rapporté par at-Tirmidhi d’après Sa’d ibn Abi Waqqas (rad) : « Dieu est bon, Il aime ce qui est bon, Propre et aime la propreté, Généreux…

La jeunesse a toujours occupé une place particulière en islam. A de nombreuses reprises dans le Coran et la Sunna, Allah et Son Messager (saws) font l’éloge des jeunes. D’ailleurs, le Prophète (saws) s’est entouré de beaucoup de jeunes dès la Révélation. On imagine souvent les compagnons du Prophète (saws) comme des personnes âgées, or, les compagnons étaient majoritairement jeunes. A l’instar de Zoubayr ibn Al ‘awwam, Talha ibn ‘oubeydallah, Saad Ibn Abi Waqqas et bien d’autres… Cheikh Moncef Zenati développe ici les qualités de ces jeunes compagnons que l’on doit prendre pour modèles, puis donne 10 conseils aux jeunes musulmans.

La question de la gélatine de porc a été traitée par les savants, comme nous l’indique cheikh Moncef Zenati. Dans le fiqh (jurisprudence islamique), il existe des cas où une impureté change d’état. Ainsi, il faut juger l’état final et non l’état initial. C’est le cas par exemple du raisin : à l’état initial, sa consommation est licite à la consommation. Après modification, on peut transformer le raisin en de l’alcool et donc, son état final est illicite à la consommation. Pour la majorité des savants, cet avis est le plus probable. Ce qui est vrai pour le raisin est vrai pour toute chose. La transformation d’un produit change donc le statut de ce produit. Pour rappel, celui qui ne partage pas cet avis est libre de ne pas consommer les produits transformés, mais en aucun cas, il doit taxer les autres qui suivent cet avis, de commettre un péché.…

Abou Hourayra (rad) dit : « J’ai entendu le Messager de Dieu (saws) dire : « Ce que je vous ai interdit évitez-le, et ce que je vous ai ordonné de faire, accomplissez-le selon votre capacité. Car, ce qui entraina la perte de ceux qui vous ont précédés ce fut bien leurs questions excessives et leurs désaccords avec leurs prophètes » (rapporté par al-Boukhari et Mouslim)