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Parmi les actes d’adoration en islam, certains sont externes, d’autres sont internes. Certains sont relatifs aux actions des sens, d’autres relèvent des actions du cœur. Malheureusement, la plupart des gens ne se préoccupent que des actes d’adoration externes. Dans la plupart des cas, ils négligent les actes d’adoration internes qui sont, en réalité, l’essence même de la religion et la quintessence de l’islam. Les gens se préoccupent uniquement de la Prière, du jeûne et des actes d’adoration externes, alors que tous ces actes ne sauraient être acceptés par Dieu que s’ils sont accompagnés d’un acte d’adoration interne qui est la sincérité : « Et ne leur a été commandé, cependant, que d’adorer Dieu, en toute sincérité, en Lui vouant un culte exclusif » (Sourate 98, Verset 5), « Les actes ne valent que selon les intentions qui les animent » (rapporté par al-Boukhari et Mouslim). Nous avons précédemment parlé de l’un des actes d’adoration interne,…

Des menteurs et des apostats, voilà comment sont considérés les compagnons chez les chiites. Le chiisme éprouve une haine viscérale à l’égard des compagnons. Les maudire et invoquer contre eux est une pratique quotidienne. Cheikh Moncef Zenati n’invente rien, toutes ces insultes se trouvent dans les livres chiites.La littérature chiite regorge de mensonges sur les compagnons auxquels ils attribuent les plus mauvaises intentions. NB : La photo d’illustration a été prise dans le quartier chiite de Sadr City à Bagdad , en Irak , le 30 Novembre 2012. Il s’agit d’une reconstitution de la bataille de Karbala.

Imiter le Prophète (saws) dans tout ce qu’il ne relève pas du culte, telle que sa façon de manger, de dormir, de s’habiller, de s’asseoir, de marcher ou autre, est louable si ceci ne s’oppose pas à un intérêt probant[1].

En fait, tout ce que fait le Prophète (saws) ne relevant pas du culte se divise en deux catégories :

– Ce qu’il fait de par sa nature humaine, comme sa façon de manger, de marcher, de s’asseoir ou de dormir.

– Ce qu’il fait en conformité avec l’usage et la norme sociale « ‘urf » : comme la manière de s’habiller (porter le pagne « izar » ou le « qamis »).

Tout ce que fait le Prophète (saws) et qui découle de son humanité et non de sa mission prophétique n’a pas de portée législative, sauf si son acte est accompagné d’un ordre ou d’une incitation, ou si l’on y perçoit le sens de l’adoration ou du rapprochement de Dieu.

Ainsi, sa manière de s’asseoir, de se lever, de marcher, de dormir, de manger, de boire, de s’habiller, de se coiffer (avoir une longue chevelure et faire une raie au milieu) ne relève pas de la Sunna législative, sauf si une preuve indique qu’il a accompli tel acte de telle manière afin de montrer l’exemple aux musulmans.

Dans cette vidéo cheikh Moncef Zenati nous présente une étude sur la doctrine chiite. Le but de cette étude n’est bien entendu pas de stigmatiser ce groupe, mais de comprendre leur dogme et en quoi ils se sont écartés de la voie du Prophète Muhammad ( saws ). Beaucoup parlent des chiites, mais peu ont étudié leur dogme. La divergence entre sunnites et chiites ne repose pas sur quelques points subsidiaires, mais bien malheureusement sur des éléments fondamentaux de la religion musulmane. A tel point que certains savants ne parlent pas de groupe hétérodoxe, mais d’une « religion chiite ». Cheikh Zenati a basé son étude exclusivement sur les livres et les ouvrages des savants chiites. Des savants anciens de référence comme Al Qoumi ou des savants contemporains comme Khomenei. Ainsi l’étude se veut objective et ne verse pas dans la caricature puisqu’elle se base sur les propos des chiites eux-mêmes. Comme…

A l’opposé de ceux qui ont inventé des hadiths mensongers et de ceux qui se réfèrent aux hadiths incertains, d’autres ont réfuté des hadiths dont l’authenticité est formellement établie. Les premiers ont introduit à la Sunna ce qui ne lui appartient pas, alors que les seconds ont exclu de la Sunna ce qui en fait partie. Ceux qui réfutent les hadiths authentiques forment plusieurs courants et tendances. Leur point commun est le suivant : la réfutation des hadiths, dont l’authenticité est formellement établie, pour des raisons qui habitent l’esprit de la personne qu’elle considère comme des vérités alors qu’il s’agit de simples conjectures qui ne tiennent pas face à la critique scientifique. L’histoire de la pensée musulmane a connu un certain nombre de ces groupes, mais les savants de l’orthodoxie sunnite leur ont répondu. Notre époque connaît également des groupes et des individus de ce genre qui réfutent des hadiths authentique…

De nos jours, il n’est pas rare de voir des jeunes musulmans européens porter le « qamis » et couvrir leurs têtes d’une « ‘imama » ou d’une « taqiyya » ou de voir des jeunes musulmanes porter le « jilbab », pensant que ces vêtements sont en soi la véritable tenue islamique ; les seuls vêtements qui respecteraient la norme islamique ; les seuls vêtements conformes à la Sunna.

Pour certains jeunes, ce genre de vêtements sert à revendiquer leur islamité. Tous ceux qui portent ces vêtements seraient plus musulmans que les autres, du moins, plus conformes à l’islam que les autres. Plus grave encore, certains font du port de ces vêtements un devoir religieux et une marque de piété, considérant que le port de vêtements dits « occidentaux » serait une marque d’impiété.