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Dans cette vidéo, le professeur Hassan Iquioussen nous parle de la fâcheuse et désastreuse tendance qui consiste à tout attribuer aux djinns. Il nous parle également des arnaques à la roqya (l’exorcisme). Pour plus d’informations sur ce sujet, nous vous conseillons cet excellent article de Cheikh Mohamed al-Ghazali (qu’Allah lui fasse miséricorde).

Allah le Très Haut dit dans Son Livre : C’est ainsi que nous fîmes de vous une communauté du juste milieu afin que vous soyez modèles/témoins aux gens, tout comme le Prophète vous est modèle/témoin [2;143]. Nous poursuivons ici notre série d’articles sur la voie des justes inspirée par la parole de l’Envoyé d’Allah, paix et salut sur lui, : dans chaque génération, ce savoir [prophétique, authentique] sera porté par des gens justes qui le protègeront de l’altération des extrémistes, du laxisme des imposteurs, et de l’interprétation des ignorants [Al Bayhaqi, Sahih]. Après avoir analysé les qualités et quelques défauts observés dans certains courants de réforme salafis, nous allons aborder ce mois-ci le courant dit moderniste ou néo-moutazilite. Nous invitons nos lecteurs à se référer à nos précédents articles en ligne, pour une meilleure compréhension du sujet de ce mois. Les modernistes Ce courant a, pour sa part été séduit par les progrès scientifiques, les avancées technologiques et matérielles, ainsi que…

Allah le Très Haut dit dans Son Livre : C’est ainsi que nous fîmes de vous une communauté du juste milieu afin que vous soyez modèles/témoins aux gens, tout comme le Prophète vous est modèle/témoin [2;143]. Après avoir vu le mois dernier, deux des caractéristiques majeures de la voie du juste milieu [al wassatiya] que sont al tayysir et al tabchir, nous allons aborder la position médiane, et juste à adopter vis-à-vis de deux courants contemporains, ayant chacun la prétention de vouloir réformer l’Islam, ou plutôt la compréhension  que les musulmans en ont, et de combattre les superstitions et les coutumes étrangères à la religion, chacun à sa manière. Ces deux mouvances sont les courants dits salafi et ‘moderniste’. Nous tâcherons de mentionner à chaque fois de manière brève et claire, leurs caractéristiques principales, leurs qualités et leurs défauts, cherchant par là la réforme [al islah] et non le dénigrement et la moquerie : ô croyants, qu’un groupe ne se moque pas d’un autre groupe, ceux-ci…

Allah le Très Haut dit dans Son Livre : « C’est ainsi que nous fîmes de vous une communauté du juste milieu afin que vous soyez modèles/témoins aux gens, tout comme le Prophète vous est modèle/témoin » [2;143]. Il nous appelle donc, Exalté soit-Il, à devenir une communauté-modèle et guide, dans le fond comme dans la forme, dans les sentiments, le caractère, l’éthique, les paroles et les actes ; cela, afin d’indiquer et d’éclairer le droit chemin, tout comme l’a fait pour nous, notre Prophète, Mohammad (paix et salut sur lui) notre modèle et notre guide. Le souci de guider autrui à ce que Dieu aime, après s’être soi-même engagé dans la bonne voie, est l’un des soucis majeurs des bons serviteurs du Très Haut, comme l’affirme Sa Parole : « Les serviteurs du Miséricordieux sont ceux qui marchent humblement sur Terre (…) et [ils disent] fais que nous soyons nous-mêmes une source de guidée pour les pieux » [25;74]. Aussi, notre communauté…

Dans un article publié par Le Temps (23.052014), Marcel Boisard, ancien sous-secrétaire général de l’ONU et auteur de nombreuses publications sur l’islam, rappelle le sens du mot djihad et démontre que la véritable guerre sainte n’a rien à voir avec les exactions des extrémistes d’aujourd’hui. Le djihad est consubstantiel à l’islam. Il est l’instrument de propagation de la religion. Toutefois, il ne signifie nullement «guerre sainte». Une traduction littérale de l’arabe serait «effort». Le Coran contient quarante fois le terme et ne l’utilise jamais dans le sens de guerre. La littérature spécialisée qui lui est consacrée, depuis quinze siècles, est pléthorique. Schématiquement, quatre types de djihad sont distingués : par le cœur, par la langue, par la main et par l’épée. De loin le plus méritoire est celui que l’on mène contre ses passions, par un effort personnel sur soi-même. Le djihad par la parole ou par le geste ressort…

Le régime syrien a depuis longtemps pour habitude, au moment de se débarrasser de ceux dont il n’attend plus aucun service ou qui finissent par constituer pour lui une gêne, de les utiliser une dernière fois d’une autre manière avant de les « jeter ». C’est l’aventure que vient de connaître l’un des plus fidèles et des plus anciens serviteurs de Hafez Al Assad puis de son héritier, le cheykh Mohammed Saïd Ramadan Al Bouti. Devenu une figure incontournable de la scène religieuse syrienne, grâce à un habile mélange de rigidité doctrinale et de servilité politique, il avait perdu en quelques mois de Révolution l’audience populaire dont le régime lui avait facilité la conquête en reconnaissance pour les services rendus. Son mépris pour les manifestants pacifiques, son autorisation de s’incliner pour la prière sur une photo du chef de l’Etat, sa justification de la répression menée par le régime et sa comparaison aventureuse entre militaires de…

Le Coran a accordé un statut particulier aux juifs et aux chrétiens en les nommant « Les gens du Livre », à ce titre, dialoguer avec les gens du Livre est une responsabilité qui incombe aux musulmans. « La ikraha fi din » (point de contrainte en religion), ce verset coranique nous rappelle que ce dialogue ne doit pas être suivi d’une volonté de contraindre l’autre à croire. Ce dialogue doit permettre de trouver des champs communs de réflexion et d’action pour vivre et construire ensemble. Alors, qu’est ce que dialoguer ? Doit-on aborder des sujets théologiques et opposer nos croyances respectives ? Abdallah Ben Mansour, engagé depuis de nombreuses années dans le dialogue islamo-chrétien, nous rappelle que les débats théologiques appartiennent aux spécialistes. La responsabilité de chacun doit alors se manifester dans un dialogue basé sur des sujets pour lesquels nous partageons tous un intérêt : la famille, l’environnement, la lutte contre la…

Abraham Lincoln a écrit en 1864 «Si l’esclavage n’est pas mauvais, rien n’est mauvais ». Effectivement, l’esclavage est certainement une des plus dures épreuves qu’un être humain peut subir. Non pas car elle implique une hiérarchie entre l’esclave et son maître mais parce que l’esclave est démuni de liberté. Une vie sans liberté est comparable à une vie sans bonheur, car on ne peut vivre heureux sans exprimer et réaliser ses besoins. Et pourtant, au VIIème siècle, à La Mecque, un homme a goûté au bonheur malgré sa position d’esclave. Cet homme est un des nombreux héros de l’islam et portait le nom de Bilal Ibn Rabah. Il était un noir d’Abyssinie (actuelle Ethiopie).Bilal avait pour maître Oumeya Ibn Khalaf, un chef de tribu Quraych. Physiquement, Bilal n’était pas très fort. Mais il avait une qualité que beaucoup de nobles lui enviaient, la sagesse d’esprit. Cette même sagesse qui le…