{ Et tu es certes d’une moralité éminente. } Sourate 68 ; Verset 4 Tendre vers la morale du Prophète (saws) doit être un objectif pour chaque musulman. Cheikh Moncef Zenati nous démontre dans cette vidéo à quel point la moralité du Prophète (saws) a concerné tous les domaines de la vie.
Le Coran a rendu sa liberté à la femme. Par les thèmes du mariage, de l’héritage et de la valeur du témoignage, Cheikh Moncef Zenati répond à ceux qui font passer le Coran pour un livre temporel où la femme serait lésée dans divers domaines de la vie.
Tous les musulmans se réclament de la Sunnah, mais en connaissez-vous réellement la définition ? Cheikh Moncef Zenati nous aide ici à distinguer ce qui relève des us et coutumes de l’Arabie du 7ème siècle et ce qui relève de la religion. Cette distinction est nécessaire afin que nous ne trahissions pas l’esprit de la Sunnah…
La Sunna est la deuxième source législative en islam et y occupe une place toute particulière. Il est donc tout à fait légitime de se questionner sur la transmission et la véracité de l’immense somme de propos imputés au prophète (saws). Cheikh Moncef Zenati, spécialiste de la Sunna, nous indique comment ces textes ont été transmis d’un point de vue historique, et comment ceux-ci ont ensuite été scientifiquement examinés et classés par les savants.
Dans cette vidéo cheikh moncef Zenati nous parle de ceux qui sont minutieux sur le détail au détriment de l’essentiel. L’essentiel n’est-il pas de vouloir reproduire le modèle de caractère du Prophète Muhammad (saws), son modèle de miséricorde, ses qualités et ses vertus, plutôt que de vouloir simplement reproduire son modèle vestimentaire ou de coiffure ? A trop s’attacher à la forme on n’en n’oublie malheureusement le fond.
Le délaissement d’une chose par le Prophète (saws) n’implique pas systématiquement l’interdiction de cette chose. Certains diront que la question de Khalid ibn al-Walid contredit cette règle, à savoir que le délaissement implique l’interdiction, d’ailleurs, certains avancent cet argument. La réponse est que lorsque Khalid a vu le Prophète (saws) retirer la main du « lézard » grillé (dad) après l’avoir tendue vers celui-ci, le doute de son interdiction a traversé son esprit et c’est pour cette raison qu’il lui a posé la question. Le Prophète (saws) lui a répondu en confirmant la règle et en affirmant son caractère général.
Il s’agit d’un groupe déviant fondé par ‘Abdoullah al-Habachi. Il apparut au Liban profitant de l’ignorance et de la pauvreté laissées par la guerre civile. Il appela à revivifier les débats dialectiques et ésotériques pour diviser les musulmans et les détourner de leurs questions essentielles…
…Il s’emploie à semer la haine et la rancœur et à répandre les troubles comme il l’a fait dans son propre pays, en diffusant une doctrine déviante et des avis juridiques marginaux, qui sèment la confusion et la division entre les musulmans.
Imiter le Prophète (saws) dans tout ce qu’il ne relève pas du culte, telle que sa façon de manger, de dormir, de s’habiller, de s’asseoir, de marcher ou autre, est louable si ceci ne s’oppose pas à un intérêt probant[1].
En fait, tout ce que fait le Prophète (saws) ne relevant pas du culte se divise en deux catégories :
– Ce qu’il fait de par sa nature humaine, comme sa façon de manger, de marcher, de s’asseoir ou de dormir.
– Ce qu’il fait en conformité avec l’usage et la norme sociale « ‘urf » : comme la manière de s’habiller (porter le pagne « izar » ou le « qamis »).