Le mérite des dix premiers jours de Dhoul Hijja Al-Boukhari rapporte d’après Ibn ‘Abbas, que Dieu l’agrée, que le Prophète (BDSL) dit : « Il n’y a pas de jours où les actions de bien sont plus aimés de Dieu que ces jours (c’est-à-dire les dix premiers jours de Dhoul Hijja) ». Al-imam Ahmed rapporte d’après Ibn ‘Omar, que Dieu l’agrée, que le Prophète (BDSL) dit : « Il n’y a pas de jours où l’action est plus méritoire et plus aimée de Dieu que ces dix jours. Pendant ces jours, faites le « tahlil » (dire « la ilaha illal-lah »), le « takbir » (dire « allahou akbar ») et le « tahmid » (dire « al-hamdou lil-lah ») en abondance ». Ibn Hibban rapporte d’après Jabir ibn ‘Abdillah, que le Prophète (BDSL) dit : « Le meilleur jour de l’année est le jour de ‘Arafat ». Les actions recommandées durant ces dix jours 1- Accomplir le Pèlerinage et la ‘Omra. Il s’agit là de la meilleure des actions conformément à plusieurs…
Les bonnes actions en ces jours bénis n’ont pas d’équivalence le reste de l’année, à savoir la lecture du Coran, le Dhikr, les invocations (pour soi, ses parents et sa communauté…), la demande de pardon, la glorification de Dieu, les prières (surtout les veilles nocturnes), l’aumône, la réconciliation entre les gens etc
Sa lignée et sa naissance Al-Hasan Ibn Abî Al-Hasan Yasâr Abû Sa`îd Al-Basrî, l’Imâm de Bassora, l’emblème de la piété, le modèle des soufis, naquit en 21 A.H. à Médine, sous le califat de `Umar Ibn Al-Khattâb. Son père était un esclave affranchi de Zayd Ibn Thâbit, et sa mère une esclave affranchie de la Mère des Croyants, Umm Salamah. Lorsque sa mère s’absentait pour accomplir une tâche qu’Umm Salamah lui avait demandée, Al-Hasan pleurait ; Umm Salamah le portait et l’allaitait. On dit que cet allaitement fut une bénédiction pour Al-Hasan. Dans son enfance, il allait s’asseoir avec les Compagnons du Prophète – paix et bénédiction de Dieu sur lui. Notre maître `Umar Al-Fârûq invoqua Dieu d’accorder à Al-Hasan une profonde compréhension de la religion et l’amour des gens. Il apprit le Coran sous le califat de `Uthmân Ibn `Affân. Ses qualités Il fut connu pour son strict respect et…
Cette question revient tout d’abord à déterminer le statut juridique du jeûne du samedi. Il existe à ce sujet des hadiths permettant de jeûner le samedi et d’autres qui l’interdisent.
Les deux derniers hadiths, isolés de l’ensemble des hadiths évoquant le jeûne du jour de ‘Ashoura, laisseraient entendre deux choses historiquement fausses. La première, c’est que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, n’observait pas le jeûne de ‘Ashoura avant l’arrivée à Médine. C’est en voyant les juifs jeûner ce jour que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, ordonna de le jeûner.
Sacrifier une bête le jour de la fête du sacrifice (le 10ème jour de dhoul-hajja) est un rite instauré par l’islam. Dieu dit : « Accomplis la Salat pour ton Seigneur et sacrifie » (108 :2) D’après Anas ibn Malik (que Dieu l’agrée) : « le Prophète (BSDL) sacrifia deux béliers, gros, blancs, cornus. Il évoqua le nom d’Allah (en disant bismillah), prononça le takbir (Allahou akbar), posa son pied sur leur flancs et les immola de sa main » ( al-Boukhari et Mouslim). D’après une autre version rapportée par Mouslim d’après Aïsha (que Dieu l’agrée), le Prophète (BSDL) dit (en immolant) : « Au nom d’Allah (bismillah). Seigneur Dieu ! Accepte ceci de la Part de Mohammad, de la famille de Mohammad et de la communauté de Mohammad » Le Prophète (BSDL) encouragea « le sacrifice » en disant : « L’homme ne peut accomplir, le jour du sacrifice, un acte plus aimé de Dieu que l’immolation d’une bête » (At-Tirmidhi) Le statut juridique du « sacrifice » La majorité des savants…
L’islam et la civilisation musulmane ont une vision particulière des malades et des personnes à besoins spécifiques; depuis l’allègement de certaines obligations juridiques, comme dans la parole divine: «Il n’y a rien à reprocher à l’aveugle, ni au boiteux, ni au malade» (sourate 24.v6), jusqu’à l’incitation à l’espoir et à la protection de leurs droits physiques et psychologiques. Lorsque le Prophète (صلى الله عليه وسلم) apprenait que quelqu’un était malade, il s’empressait de lui rendre visite chez lui, malgré tous les soucis et toutes les charges qui pesaient sur lui. Il n’y avait rien de forcé dans ces visites: elles étaient motivées par un sentiment de devoir à l’égard de ces malades. Comment aurait-il pu en être autrement, alors qu’il avait lui-même souligné le fait que recevoir des visites fait partie des droits du malade? Le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit en effet: «Le musulman a cinq droits…
Il arrive que les détracteurs de l’islam décrivent le Prophète (saws) comme un être désireux des biens de ce monde. Or, ceci est totalement faux. Cheikh Moncef Zenati relate dans cette vidéo de nombreux épisodes de la vie du Prophète (saws) comme autant de preuves de son exceptionnelle générosité.