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science

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Le comportement présente une limite supérieure. Lorsqu’elle est dépassée, il devient outrage. Il présente également une limite inférieure. Si cette limite n’est pas atteinte, le comportement devient faiblesse et bassesse.

Ainsi, la colère présente une limite : il s’agit du courage digne d’éloges, et le refus de s’abaisser à l’infamie et à la vilenie. Voilà la forme la plus parfaite de colère. Si elle dépasse cette limite, la colère devient transgression et oppression. Si elle ne l’atteint pas, elle n’est que lâcheté, et elle n’empêche pas de sombrer dans l’infamie…

C’est une phrase que les musulmans ont l’habitude d’entendre mais peut être est-elle obscure et ne l’ont-ils jamais vraiment comprise. Peut-être dira –t-on : « Qu’est-ce qu’ils ont à mettre par écrit des idées qui ne peuvent se réaliser ? Qu’ont-ils à se bercer de rêves et d’illusions ? »

Ne nous affolons pas, frères en islam et dans la tradition. Ce que vous tenez d’aujourd’hui pour difficile et lointain était pour vos devanciers quelque chose de simple et de proche…

L’imam Malik fait partie de ces grands imams qui ont marqué l’histoire de l’islam par l’étendue de leur science et une volonté insatiable de diffuser cette science. Comme tous les imams de son envergure, il s’est aussi distingué par sa remarquable personnalité et l’intégrité de sa ligne de conduite. L’imam Abdallah Dliouah vous propose une biographie synthétique et inspirante de cet éminent imam qui retrace son enfance, ses années d’étude, sa relation à la science, à ses élèves, au monde, aux aspects matériels de la vie et au pouvoir politique.

Dans cette vidéo cheikh moncef Zenati nous parle de ceux qui sont minutieux sur le détail au détriment de l’essentiel. L’essentiel n’est-il pas de vouloir reproduire le modèle de caractère du Prophète Muhammad (saws), son modèle de miséricorde, ses qualités et ses vertus, plutôt que de vouloir simplement reproduire son modèle vestimentaire ou de coiffure ? A trop s’attacher à la forme on n’en n’oublie malheureusement le fond.

«Là où l’on brûle les livres, on finit par brûler des hommes», disait l’écrivain et poète Heinrich Heine. L’histoire de l’humanité est jalonnée par la destruction des livres. Lors de la Reconquista, les autodafés ont été une des choses les plus horribles qu’ont commis les chrétiens. Al Hamdulillah, tout l’héritage andalous n’a pas été brûlé. Une grande partie de cet héritage littéraire et scientifique a tout simplement été traduit. Le nom des auteurs a été remplacé, et le mérite est revenu à des intellectuels occidentaux. Le professeur Hassan Iquioussen dévoile ici quelques plagiats commis à la chute de l’Andalousie musulmane.

S’instruire est très important, mais vérifier d’où on tire son savoir est encore plus important. A l’heure d’internet, nous avons tous facilement accès au savoir. Mais internet regorge d’informations dans lesquelles on se perd facilement. D’où l’importance d’avoir un professeur pour structurer notre manière de s’instruire. Écoutons les conseils de cheikh Moncef Zenati pour ne pas tomber dans les dangers d’internet.

Dix choses, desquelles  on ne tire aucun profit, sont inutiles : Une science que l’on ne met pas en pratique ; une œuvre dénuée de toute sincérité et non conforme à la Sunna ; des biens que l’on ne dépense pas, dont le propriétaire ne jouit pas dans ce bas monde et qu’il n’investit pas non plus pour l’au-delà ; un cœur vide de l’amour d’Allah, de l’ardent désir de Le rencontrer et de jouir de Sa compagnie ; un corps incapable d’obéir à Allah et de Le servir ; un amour qui ne se soucie pas de plaire à l’ Etre aimé ou d’obéir à Ses ordres ; du temps que l’on utilise pas dans l’expiation des fautes passées, ou dont on ne profite pas pour accomplir un acte de bien qui rapproche d’Allah ; des pensées qui portent sur des sujets vains ; se mettre au service d’une créature dont le service ne rapproche pas d’Allah et…

Il y a dans l’histoire des hommes, des êtres vis-à-vis desquels les meilleurs superlatifs et les suprêmes efforts de la plume ne rendent pas assez hommage. Ces esprits brillent autant que les étoiles et sont beaucoup moins nombreux. Ils perdurent dans le ciel de la science et guident les intelligences, comme autrefois les configurations stellaires orientaient les marins dans les océans de la peur et de la nuit. Abû Hâmid al-Ghazali est le nom d’un homme qui vaut celui d’une constellation. Que le lecteur lève donc avec nous les yeux au ciel de la pensée humaine quelques minutes, pour admirer la profondeur d’un esprit quasi céleste. Abû Hâmid al-Ghazali est une leçon complète. Complète par l’histoire de l’individu, par sa production scientifique, et par l’influence qu’il jeta sur les siècles qui ont couru devant lui, au point d’en infléchir le destin savant. Il naquit un jour de 1058 en Perse…