L’illettrisme de notre bien aimé prophète (sws) fut une barrière aux détracteurs qui tenteraient d’imputer la révélation du saint Coran à son imagination. Au dela de cette fonction, il s’agit d’une volonté divine de donner à cet illettrisme un sens profond. À travers cette courte vidéo, Sofiane Meziani nous invite à réfléchir sur la dimension symbolique de cette caractéristique de ce qu’il nomme « la virginité intellectuelle ». Il émet également la différence entre connaissance livresque et profondeur de la compréhension.
Sa lignée et sa naissance Al-Hasan Ibn Abî Al-Hasan Yasâr Abû Sa`îd Al-Basrî, l’Imâm de Bassora, l’emblème de la piété, le modèle des soufis, naquit en 21 A.H. à Médine, sous le califat de `Umar Ibn Al-Khattâb. Son père était un esclave affranchi de Zayd Ibn Thâbit, et sa mère une esclave affranchie de la Mère des Croyants, Umm Salamah. Lorsque sa mère s’absentait pour accomplir une tâche qu’Umm Salamah lui avait demandée, Al-Hasan pleurait ; Umm Salamah le portait et l’allaitait. On dit que cet allaitement fut une bénédiction pour Al-Hasan. Dans son enfance, il allait s’asseoir avec les Compagnons du Prophète – paix et bénédiction de Dieu sur lui. Notre maître `Umar Al-Fârûq invoqua Dieu d’accorder à Al-Hasan une profonde compréhension de la religion et l’amour des gens. Il apprit le Coran sous le califat de `Uthmân Ibn `Affân. Ses qualités Il fut connu pour son strict respect et…
C’est une phrase que les musulmans ont l’habitude d’entendre mais peut être est-elle obscure et ne l’ont-ils jamais vraiment comprise. Peut-être dira –t-on : « Qu’est-ce qu’ils ont à mettre par écrit des idées qui ne peuvent se réaliser ? Qu’ont-ils à se bercer de rêves et d’illusions ? »
Ne nous affolons pas, frères en islam et dans la tradition. Ce que vous tenez d’aujourd’hui pour difficile et lointain était pour vos devanciers quelque chose de simple et de proche…
L’excellence du Lieu où se situe la ville de Jérusalem est justifiée tout aussi bien du point de vue historique, que dans de nombreux textes du Coran et de la sunna (tradition prophétique).
Cette excellence remonte sans doute à l’antiquité, puisque c’est dans ce lieu que grandirent et moururent bon nombre de prophètes (…)
Cette question revient tout d’abord à déterminer le statut juridique du jeûne du samedi. Il existe à ce sujet des hadiths permettant de jeûner le samedi et d’autres qui l’interdisent.
Les deux derniers hadiths, isolés de l’ensemble des hadiths évoquant le jeûne du jour de ‘Ashoura, laisseraient entendre deux choses historiquement fausses. La première, c’est que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, n’observait pas le jeûne de ‘Ashoura avant l’arrivée à Médine. C’est en voyant les juifs jeûner ce jour que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, ordonna de le jeûner.