Muhammad Ali, boxeur américain, trois fois Champion du Monde de Boxe, catégorie Poids Lourds. Converti à l’Islam en 1965 : « J’ai eu beaucoup de grands moments dans ma vie. Mais les sensations que j’ai éprouvées tandis que j’étais sur Le mont Arafat, le jour du Hadj (pèlerinage musulman), étaient les plus forts de ma vie. Je me suis senti exalté par l’atmosphère spirituelle indescriptible qui y régnait: lorsqu’un million et demi de pèlerins invoquaient Dieu pour le pardon de leurs péchés et pour leur accorder Sa Grâce et Ses bénédictions. C’était une expérience poignante que de voir des gens appartenant à des couleurs, races et nationalités différentes, rois, hommes d’états et hommes ordinaires de pays très pauvres, tous enveloppés de deux draps blancs simples, le même pour tous, priant Dieu. Priant Dieu sans aucun complexe de supériorité ou d’infériorité entre eux. C’était une des manifestations pratiques et concrètes du…
Jamais je n’ai connu d’hospitalité aussi sincère, de fraternité aussi bouleversante que celles des hommes et de femmes de toutes races réunis sur cette vieille Terre Sainte, patrie d’Abraham, de Mohamed et des autres prophètes des Saintes Ecritures. Jamais je n’ai été honoré comme ici. Jamais je ne me suis senti plus humble et plus digne.
L’Amérique a besoin de comprendre l’islam, parce que c’est la seule religion
Sa lignée et sa naissance Al-Hasan Ibn Abî Al-Hasan Yasâr Abû Sa`îd Al-Basrî, l’Imâm de Bassora, l’emblème de la piété, le modèle des soufis, naquit en 21 A.H. à Médine, sous le califat de `Umar Ibn Al-Khattâb. Son père était un esclave affranchi de Zayd Ibn Thâbit, et sa mère une esclave affranchie de la Mère des Croyants, Umm Salamah. Lorsque sa mère s’absentait pour accomplir une tâche qu’Umm Salamah lui avait demandée, Al-Hasan pleurait ; Umm Salamah le portait et l’allaitait. On dit que cet allaitement fut une bénédiction pour Al-Hasan. Dans son enfance, il allait s’asseoir avec les Compagnons du Prophète – paix et bénédiction de Dieu sur lui. Notre maître `Umar Al-Fârûq invoqua Dieu d’accorder à Al-Hasan une profonde compréhension de la religion et l’amour des gens. Il apprit le Coran sous le califat de `Uthmân Ibn `Affân. Ses qualités Il fut connu pour son strict respect et…
C’est une phrase que les musulmans ont l’habitude d’entendre mais peut être est-elle obscure et ne l’ont-ils jamais vraiment comprise. Peut-être dira –t-on : « Qu’est-ce qu’ils ont à mettre par écrit des idées qui ne peuvent se réaliser ? Qu’ont-ils à se bercer de rêves et d’illusions ? »
Ne nous affolons pas, frères en islam et dans la tradition. Ce que vous tenez d’aujourd’hui pour difficile et lointain était pour vos devanciers quelque chose de simple et de proche…
Les musulmans célèbrent deux fêtes principales dans l’année : « ‘Aïd à al-fitr » (la fête de la rupture du jeûne annonçant la fin du mois de Ramadan) et « ‘Aïd al-adha » (la fête du sacrifice en commémoration du sacrifice du prophète Ibrahim, que la Paix de Dieu soit sur lui). Mais les fêtes en islam ne sont pas de simples occasions pour organiser des cérémonies festives ou pour se réunir autour d’un festin bien que cela en fasse partie. En effet, au-delà de leur dimension festive, l’islam vise à réaliser à travers ces deux fêtes des objectifs d’ordre spirituel et humanitaire. Dimension spirituelle de l’Aïd La dimension spirituelle se manifeste à travers l’Aïd dans la mesure où cette fête commence par la célébration de la Prière, par le « takbir » (dire allahou akbar », le « tahlil » (dire la ilaha illallah), le « tahmid » (dire al-hamou lillah). La fête de l’Aïd en islam est ornée d’invocations. Les…
« Réussit, certes, celui qui se purifie, et se rappelle le nom de son Seigneur, puis célèbre la prière. Mais vous préférez plutôt la vie présente, alors que l’au-delà est meilleur et plus durable. Ceci se trouve, certes, dans les Feuillets anciens, les Feuillets d’Abraham et de Moïse. » [1] Le défi quotidien du musulman consiste à s’efforcer de vivre dans ce monde en se conformant au mode de vie des Prophètes de Dieu, de tous ses Prophètes, depuis le premier, Adam, jusqu’au tout dernier, le Sceau des Prophètes, Muhammad – que la paix soit sur eux tous. Tous étaient porteurs du même message et se fondaient sur des principes et des valeurs communs. Le mode de vie des Prophètes n’a rien de semblable à celui des rois ou des dirigeants, ni à celui des politiciens, des chefs militaires, ou des gens riches ou issus de milieux aisés. La façon de vivre des…
Dix choses, desquelles on ne tire aucun profit, sont inutiles : Une science que l’on ne met pas en pratique ; une œuvre dénuée de toute sincérité et non conforme à la Sunna ; des biens que l’on ne dépense pas, dont le propriétaire ne jouit pas dans ce bas monde et qu’il n’investit pas non plus pour l’au-delà ; un cœur vide de l’amour d’Allah, de l’ardent désir de Le rencontrer et de jouir de Sa compagnie ; un corps incapable d’obéir à Allah et de Le servir ; un amour qui ne se soucie pas de plaire à l’ Etre aimé ou d’obéir à Ses ordres ; du temps que l’on utilise pas dans l’expiation des fautes passées, ou dont on ne profite pas pour accomplir un acte de bien qui rapproche d’Allah ; des pensées qui portent sur des sujets vains ; se mettre au service d’une créature dont le service ne rapproche pas d’Allah et…