Ô peuple ! Prêtez-moi une oreille attentive, car je ne sais pas si je serai encore parmi vous l’an prochain. Alors, écoutez ce que je dis avec beaucoup d’attention et transmettez ces mots à ceux qui ne pouvaient être présents aujourd’hui.
Les musulmans célèbrent deux fêtes principales dans l’année : « ‘Aïd à al-fitr » (la fête de la rupture du jeûne annonçant la fin du mois de Ramadan) et « ‘Aïd al-adha » (la fête du sacrifice en commémoration du sacrifice du prophète Ibrahim, que la Paix de Dieu soit sur lui). Mais les fêtes en islam ne sont pas de simples occasions pour organiser des cérémonies festives ou pour se réunir autour d’un festin bien que cela en fasse partie. En effet, au-delà de leur dimension festive, l’islam vise à réaliser à travers ces deux fêtes des objectifs d’ordre spirituel et humanitaire. Dimension spirituelle de l’Aïd La dimension spirituelle se manifeste à travers l’Aïd dans la mesure où cette fête commence par la célébration de la Prière, par le « takbir » (dire allahou akbar », le « tahlil » (dire la ilaha illallah), le « tahmid » (dire al-hamou lillah). La fête de l’Aïd en islam est ornée d’invocations. Les…
« Dieu ne change rien, en un peuple, tant qu’ils ne changent rien en eux-mêmes » Il arrive bien des fois que l’individu, cherchant à entamer une page nouvelle de son existence, associe ce renouveau escompté à quelque conjoncture de la vie telle une amélioration de sa situation, de son statut… à une date déterminée ou bien à une fête quelconque (anniversaire, nouvel an), etc. En atermoyant de la sorte, il a l’impression que l’avènement de cette échéance lui apportera force et vigueur, pour transformer son apathie et son désespoir en vivacité, en espérance. C’est là une chimère. C’est que « le renouveau de la vie provient avant tout du fond de l’âme ». L’homme qui aborde la vie avec détermination et clairvoyance, loin de se résigner à aller au gré des circonstances, si cruelles fussent-elles, se propose plutôt d’en tirer parti, en affirmant sa responsabilité. Ainsi, en est-il de la graine des fleurs :…
Non, Israël ne se défend pas! C’est une force d’occupation, et tant que celle-ci se poursuit, il est du droit le plus élémentaire des palestiniens de se défendre, avec tous les moyens qu’ils ont en leur possession. A défaut, ce serait nier un droit fondamental de tout être humain, que constitue celui de défendre sa propriété et sa terre.