Le mérite des dix premiers jours de Dhoul Hijja Al-Boukhari rapporte d’après Ibn ‘Abbas, que Dieu l’agrée, que le Prophète (BDSL) dit : « Il n’y a pas de jours où les actions de bien sont plus aimés de Dieu que ces jours (c’est-à-dire les dix premiers jours de Dhoul Hijja) ». Al-imam Ahmed rapporte d’après Ibn ‘Omar, que Dieu l’agrée, que le Prophète (BDSL) dit : « Il n’y a pas de jours où l’action est plus méritoire et plus aimée de Dieu que ces dix jours. Pendant ces jours, faites le « tahlil » (dire « la ilaha illal-lah »), le « takbir » (dire « allahou akbar ») et le « tahmid » (dire « al-hamdou lil-lah ») en abondance ». Ibn Hibban rapporte d’après Jabir ibn ‘Abdillah, que le Prophète (BDSL) dit : « Le meilleur jour de l’année est le jour de ‘Arafat ». Les actions recommandées durant ces dix jours 1- Accomplir le Pèlerinage et la ‘Omra. Il s’agit là de la meilleure des actions conformément à plusieurs…
Pourquoi Dieu n’interviendrait-il pas ? Un voisin non-musulman me dit un jour : Si Dieu existait, pourquoi n’interviendrait-il pas pour arrêter ces guerres ? Moi quand j’ai mon chien et mon chat qui se bagarrent, je les sépare. Dieu n’existe pas et si Dieu existait, il n’est pas bon et aime voir la souffrance des hommes, donc c’est qu’il ne nécessite pas d’être adoré ! Je lui dis : Dieu a créé l’homme, lui a confié la gestion de ce monde. Dieu aurait pu créer un monde sans guerre, sans mal et sans corruption. D’ailleurs Dieu l’a déjà fait. Ce monde existe vraiment. C’est le monde des anges. Les anges ne font pas de mal, ne se font pas la guerre et ne corrompent pas l’univers. Les anges eux mêmes ne comprenaient pas pourquoi Dieu voulait créer un homme de terre et lui donner le libre arbitre. Ils se sont…
La vie du croyant est faite de diverses étapes et épreuves envoyées par Dieu. Celles-ci peuvent avoir un effet bénéfique ou mauvais sur son rapport à son créateur. En effet, les épreuves peuvent avoir pour effet un rapprochement et un repentir vis à vis d’Allah. A l’inverse, elles peuvent aussi faire que le croyant s’éloigne de Dieu, pensant que ce n’est pas une bonne chose pour lui-même. Dans cette vidéo, l’imam Abdallah met en lumière la définition du « vrai malheur » pour le croyant et nous donne les pistes pour comprendre la finalité divine dans nos épreuves.
Le Prophète Muhammad (saws) a dit : « Abû Bakr As-Siddîq ne vous devança ni par sa prière ni par son jeûne. Il vous devança par une chose installée dans son cœur. » A travers cette vidéo, découvrez la grandeur de cet illustre compagnon du Prophète Muhammad (saws).
Dans cette vidéo, l’imam AbdAllah nous raconte quelques anecdotes sur le compagnon Abou Bakr (rad). Des anecdotes qui démontre sa grande valeur.
Sa lignée et sa naissance Al-Hasan Ibn Abî Al-Hasan Yasâr Abû Sa`îd Al-Basrî, l’Imâm de Bassora, l’emblème de la piété, le modèle des soufis, naquit en 21 A.H. à Médine, sous le califat de `Umar Ibn Al-Khattâb. Son père était un esclave affranchi de Zayd Ibn Thâbit, et sa mère une esclave affranchie de la Mère des Croyants, Umm Salamah. Lorsque sa mère s’absentait pour accomplir une tâche qu’Umm Salamah lui avait demandée, Al-Hasan pleurait ; Umm Salamah le portait et l’allaitait. On dit que cet allaitement fut une bénédiction pour Al-Hasan. Dans son enfance, il allait s’asseoir avec les Compagnons du Prophète – paix et bénédiction de Dieu sur lui. Notre maître `Umar Al-Fârûq invoqua Dieu d’accorder à Al-Hasan une profonde compréhension de la religion et l’amour des gens. Il apprit le Coran sous le califat de `Uthmân Ibn `Affân. Ses qualités Il fut connu pour son strict respect et…
C’est une phrase que les musulmans ont l’habitude d’entendre mais peut être est-elle obscure et ne l’ont-ils jamais vraiment comprise. Peut-être dira –t-on : « Qu’est-ce qu’ils ont à mettre par écrit des idées qui ne peuvent se réaliser ? Qu’ont-ils à se bercer de rêves et d’illusions ? »
Ne nous affolons pas, frères en islam et dans la tradition. Ce que vous tenez d’aujourd’hui pour difficile et lointain était pour vos devanciers quelque chose de simple et de proche…
Cette question revient tout d’abord à déterminer le statut juridique du jeûne du samedi. Il existe à ce sujet des hadiths permettant de jeûner le samedi et d’autres qui l’interdisent.