En effet, la stratosphère médiatique s’est emballée: la presse écrite nous a servi des titres : « Shalit rentre à la maison », « shalit enfin libre », les journaux télévisés nous ont offert des reportages en direct du « village familial »… et on en arrive à s’émouvoir de la libération de ce militaire.
Il est important de rappeler que ce soldat, entrainé à combattre et tuer, a été capturé alors qu’il était en mission à bord d’une patrouille armée sur les terres de Gaza et donc très loin de son village natal…