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« Rien n’empêche d’acheter une mosquée en ayant recours à de l’argent dont l’ori- gine est illicite dont son propriétaire s’est purifié, à l’instar des intérêts accumulés au- près des banques usurières, ou d’un héritage légué par son père ou son grand-père. Il est interdit à celui qui a acquis cet argent d’en tirer profit.

Par contre, il est licite pour les pauvres et voies du bien dont les mosquées et ce qui s’y rapproche. Par ailleurs, une fatwa à ce sujet a été publiée par l’académie du droit musulman « majma’ al-fiqh al-islami » affilié à la ligue islamique mondiale. »

Une telle question fut posée à cheikh Youssef al-Qaradawi au sujet des intérêts ban- caires. Il dit :

« Quant aux intérêts bancaires accumulés, leur cas est identique au cas de tout bien acquit d’une manière illicite. Il n’est pas permis à leur acquisiteur d’en tirer profit car en les utilisant pour son profit personnel, il aura consommé un produit illicite et ce, qu’il en tire profit comme nourriture, boisson, vêtements, logement ou acquittement de dette envers un musulman ou un non-musulman, que la dette soit équitable ou…

Pour commencer ton cheminement sur de bonnes bases tu dois le commencer par un repentir sincère.

Si tu veux édifier une construction solide, tu dois tout d’abord commencer par déblayer les décombres. Pour persister sur le chemin du bien et de l’obéissance, tu dois commencer par te purifier. De la même façon que tu te laves le corps avant d’enfiler des vêtements propres, tu dois aussi commencer par déblayer le chemin, le purifier, or sa purification réside dans le repentir.

Les Croisés n’ayant qu’une confiance très limitée dans les capacités de leurs compa- triotes préfèrent, en effet, demander à nos médecins, ici en « Terre sainte », de soi- gner leurs éruptions cutanées, leurs coliques et leurs diarrhées. Et comme ils ont rai- son ! Mon oncle, l’émir de Chaisar, qui entretient de bonnes relations son voisin franc à la casbah de Mounaîtira, ayant cédé aux instances de celui-ci, lui avait laissé pour quelque temps notre talentueux Thabit afin que celui-ci ne prodiguât ses soins aux malades de la garnison franque.

Mais voilà que Thabit était déjà de retour ! Stupéfaits, nous lui demandâmes :

Nous poursuivons notre série de discours consacrée à la purification de l’âme ; à la purification de ce morceau de chair qui, s’il est sain, rend tout le corps sain, mais s’il est corrompu, corrompt tout le corps, il s’agit bien sûr du cœur. Les pieux prédécesseurs disaient : « Le cœur est un roi et les membres du corps sont ses soldats. Aussi, si le roi est bon, les soldats seront bons, mais s’il est corrompu, les soldats seront corrompus ».

Tout est parti de « La viande dans tous ses états », un reportage d’Envoyé spécial diffusé jeudi soir sur France 2. François Hallepée, directeur de la Maison d’élevage d’Ile-de-France, y révélait que les abattoirs de la région abattaient tous « selon le rite musulman, que 100 % de l’abattage est halal en Ile-de-France ». Samedi, Marine Le Pen s’empare du sujet : « La viande distribuée en Ile-de-France est exclusivement halal », affirme-t-elle avec aplomb, criant à la tromperie. « Faux », répondent en choeur les professionnels et le gouvernement.

Pour Florence Bergeaud-Blackler, anthropologue, chercheuse à l’Iremam (Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman) et auteur de Comprendre le halal (Édipro, 2010), toute la polémique repose sur un amalgame. Explications.

Une des plus grandes injustices et preuves d’ignorance consiste à désirer que les gens te respectent et t’estiment alors que ton cœur est vide de tout respect et estime envers Allah. En effet, tu as trop de respect et de considération pour les créatures pour leur permettre de te voir dans une situation (désavantageuse), alors que tu n’éprouves aucune gêne à ce qu’Allah te voie dans cette même situation…

Comment Mohammed, pouvait-il, dans son état de pauvreté, et appartenant à la classe moyenne de son peuple, réclamer la royauté et prétendre au pouvoir. Il n’avait ni richesse, ni autorité, ni armée, ni soutien ; il n’avait ni dispositions pour la poésie, ni l’élégance du style, ni la réputation de l’éloquence ; il n’avait rien qui put lui procurer une situation prépondérante parmi le peuple et l’élever jusqu’aux rangs de l’élite.

Or, quelle fut la force qui l’éleva au-dessus des hommes, qui fit que sa tête se dressa au-dessus des autres têtes, qui haussa sa volonté au-dessus des autres volontés…