« Rien n’empêche d’acheter une mosquée en ayant recours à de l’argent dont l’ori- gine est illicite dont son propriétaire s’est purifié, à l’instar des intérêts accumulés au- près des banques usurières, ou d’un héritage légué par son père ou son grand-père. Il est interdit à celui qui a acquis cet argent d’en tirer profit.
Par contre, il est licite pour les pauvres et voies du bien dont les mosquées et ce qui s’y rapproche. Par ailleurs, une fatwa à ce sujet a été publiée par l’académie du droit musulman « majma’ al-fiqh al-islami » affilié à la ligue islamique mondiale. »