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L’islam garantit aux non-musulmans vivant au sein de la société musulmane une liberté religieuse totale en leur permettant de rester fidèles à leur religion. Nul ne peut être contraint à renoncer à sa foi. Toute pression qu’elle soit physique et psychologique est prohibée. Le principe étant le verset coranique : « Nul contrainte en matière de religion »

L’histoire nous démontre qu’aucun peuple musulman n’a essayé d’imposer l’islam aux minorités non-musulmanes.

Dans notre numéro précédent, nous avons publié la mise au point adressée au journal LE MONDE par M. de directeur des services de presse à l’ambassade égyptienne à Paris, à la suite d’une campagne de la presse française calomniant l islam.

Nous donnons la parole aujourd’hui à deux français, dont la probité intellectuelle mérite d’être soulignée

Nous poursuivons nos discours sur le repentir. Nous avons parlé lors des sermons précédents de la vérité du repentir, de ses éléments constitutifs et des différentes catégories des péchés qui exigent le repentir.

Aujourd’hui, nous allons aborder les causes qui empêchent le repentir. En effet, si le repentir est obligation pour tout musulman et toute musulmane, pourquoi les gens ne se repentent pas ? Si le repentir est une obligation immédiate qu’on ne peut ajourner, alors pourquoi les gens le retardent constamment ?

Dans son étude sur « l’Islamisme et la Science »Paris (1983), Ernest Renan soutient – fort maladroitement – d’ailleurs la thèse selon laquelle l’Islam est un obstacle à l’instruction et au progrès. Cet ouvrage qui souleva de multiples controverses et dont maints auteurs – orientaux et européens– ont montré l’absurdité et le chauvinisme n’a pas moins laissé de … disciples.

D’ailleurs, cette thèse, l’Occident l’avait fait sienne bien avant Renan : quand il sentit que l’Empire musulman décadent était une proie facile. Depuis, le colonialisme l’a érigée en code et la …

L’homme se repent de ses péchés dans le but de se purifier. Quiconque commet un péché est comparable à celui qui se roule dans la souillure. Il veut donc se laver de cette souillure ; se débarrasser de cette crasse, mais ceci ne peut se réaliser que par le repentir.

L’homme doit donc se garder des péchés, mais pour cela, il doit saisir parfaitement la vérité de ces péchés…

L’Union des Organisations Islamiques de France est très surprise par la publication du communiqué de presse, rédigé conjointement par le ministère des affaires étrangères et le ministère de l’intérieur. Ce communiqué re- flète de façon manifeste la volonté de prolonger une polémique née d’une annonce du Front National et résul- tant d’une méconnaissance totale de la pensée de l’UOIF et des personnalités mentionnées.

Cette décision blesse profondément la communauté musulmane car elle renforce l’amalgame dans l’opinion…

Nicolas Sarkozy, Manuel Valls et Marine Le Pen sont tous d’accord … non pas pour former un gouvernement d’union national afin de relancer l’économie du pays ou de prendre des mesures vitales pour la France … non que nenni ils sont d’accord pour interdire la venue de Cheikh Qaradawi au salon de l’UOIF, chacun ces priorités me direz-vous.

Le président de la république déclare qu’il a informé «l’émir du Qatar lui-même que ce monsieur n’était pas le bienvenu sur le territoire de la République Française » je ne peux m’empêcher de repenser à la déclaration de ce même président en 2007 qui déclarait au à son ami le colonel Kadhafi « Je suis très heureux de vous recevoir à Paris » quand on connaît la suite de l’histoire on se dit que ce n’est peut-être pas plus mal pour cheikh Qaradawi…

En effet, non contents d’user et d’abuser du vocable « islamiste » associant l’islam au terrorisme, les faiseurs d’opinion, aidés en cela par une classe politique encline à l’essentialisme et aux raccourcis les plus abjects, abondent dans des analyses infantilisantes.

On va donc à la rencontre des voisins et des connaissances du frère de l’assassin qui nous racontent, détail ô combien important, que sa femme est voilée ! Et une petite rengaine retentit de plus belle : « Tiens ! Nous vous l’avons incessamment répété…