Aux premiers abords, nous pouvons penser que les mauvais penchants de l’homme trouvent leurs sources dans nos peurs, nos préoccupations, nos idées et nos envies propres. En réalité, ils trouvent racine dans des causes bien plus profondes et communes à tous. Ces racines poussent sur le terreau d’une spiritualité affaiblie et d’une foi en carence. Dans cette video, Tayeb Chouiref dégage deux racines majeures et nous aide à les identifier à travers les comportements qu’elles génèrent.
Nous avons évoqué auparavant qu’il existait des stations d’épuration, des étapes, des états spirituels indispensables pour l’itinérant qui désire emprunter le chemin de la réussite éternelle. Nous avons déjà cité quelques étapes dont le savoir, le repentir, la patience, la reconnaissance et la satisfaction. Aujourd’hui, nous abordons une nouvelle étape dans notre cheminement spirituel, un autre fondement de la foi, à savoir, la crainte et l’espérance. Dans son effort qu’il déploie pour gagner le Paradis et se mettre à l’abri de l’Enfer, l’être a besoin de deux ailes pour le porter tout au long de ce voyage, ce sont les ailes de la crainte et de l’espérance. La crainte du châtiment de Dieu et l’espérance dans la miséricorde de Dieu. Ces deux sentiments sont indispensables et indissociables. Le croyant doit associer ces deux sentiments de manière à ce que la crainte ne l’amène pas au désespoir car « Ce sont…
Le grand ascète et compagnon ‘Omar ibn al-Khattab (rad) a dit un jour : « Faites votre examen de conscience avant d’être juger et pesez vos action avant qu’elles ne soient pesées contre vous, car le jugement sera d’autant plus léger demain, si vous faites votre examen de conscience aujourd’hui, et embellissez-vous pour la présentation suprême ». Cette exhortation donne pleinement la mesure de l’importance de l’examen de conscience dans le cheminement spirituel en islam. Seulement, par expérience, nous savons pertinemment qu’il est souvent difficile d’être objectif et perspicace avec soi-même. Il est alors légitime de se demande comment parvenir à faire d’authentiques examens de conscience. Dans cette vidéo, Tayeb Chouiref nous propose des approches pratiques et efficaces qu’il prend soin d’illustrer par des exemples concrets.
Aujourd’hui, nous allons aborder les causes qui empêchent le repentir. En effet, si le repentir est obligation pour tout musulman et toute musulmane, pourquoi les gens ne se repentent pas ? Si le repentir est une obligation immédiate qu’on ne peut ajourner, alors pourquoi les gens le retardent constamment ?
Nous vous proposons une série de vidéos sur la purification de l’âme. Ces vidéos ont été filmés lors du gite spirituel organisé par Havre De Savoir, les 6 et 7 février 2016, avec la présence de cheikh Moncef Zenati. Dieu dit : « Et par l’âme et Celui qui l’a harmonieusement façonnée ; et lui a alors inspiré son immoralité, de même que sa piété ! A réussi, certes celui qui la purifie. Et est perdu, certes, celui qui la corrompt » (Sourate 91, Verset 7-10).
Le bonheur de l’homme et sa quiétude, ainsi que son malheur et son désarroi, découlent uniquement de lui-même. C’est lui qui empreint sa vie d’une couleur euphorique ou sinistre, pareil en cela au récipient qui revêt de sa propre teinte le liquide qu’il tient. Ainsi, « celui qui accepte aura satisfaction, et celui qui mécontente n’aura que déception. »
« Dieu ne change rien, en un peuple, tant qu’ils ne changent rien en eux-mêmes » Il arrive bien des fois que l’individu, cherchant à entamer une page nouvelle de son existence, associe ce renouveau escompté à quelque conjoncture de la vie telle une amélioration de sa situation, de son statut… à une date déterminée ou bien à une fête quelconque (anniversaire, nouvel an), etc. En atermoyant de la sorte, il a l’impression que l’avènement de cette échéance lui apportera force et vigueur, pour transformer son apathie et son désespoir en vivacité, en espérance. C’est là une chimère. C’est que « le renouveau de la vie provient avant tout du fond de l’âme ». L’homme qui aborde la vie avec détermination et clairvoyance, loin de se résigner à aller au gré des circonstances, si cruelles fussent-elles, se propose plutôt d’en tirer parti, en affirmant sa responsabilité. Ainsi, en est-il de la graine des fleurs :…
Dans cette vidéo cheikh Moncef Zenati nous donne quelques explications sur le jeûne du mois de chawal. Le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa salam) : « Quiconque jeûne le mois de Ramadan, puis le fait suivre des six jours du mois de Chawal ; son jeûne est considéré comme étant un jeûne continu. » Rapporté par Muslim. Enregistrer