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Parler de Dieu, devient de plus en plus rare aujourd’hui. Or, bien Le connaître constitue la base de l’Islam. Connaître Son Unicité, savoir qu’Il est exempt de toute insuffisance ou imperfection est primordial pour bien vivre sa foi. Cheikh Moncef Zenati rappelle l’importance de connaître son Seigneur. Adorer Dieu est le but de chaque être humain, mais pour l’adorer il faut l’aimer, et pour l’aimer il faut le connaître. Ainsi, la connaissance de Dieu doit être notre objectif.

« Seuls ont le droit de fréquenter les mosquées de Dieu ceux qui croient en Dieu et au Jugement dernier, qui accomplissent la salât, s’acquittent de la zakât et ne redoutent que le Seigneur. Ceux-là ont toutes les chances d’obtenir leur salut »[1]. « Dans des demeures que Dieu a permis d’élever afin que Son Nom y soit invoqué, et on Le glorifie, matin et soir »[2]. « En vérité, les mosquées sont la propriété exclusive de Dieu. N’y invoquez donc nul autre que Lui ! »[3]. Les mosquées sont les demeures d’Allah et Il est généreux envers Ses serviteurs. La manifestation de Sa générosité envers ses hôtes est la guidance, la quiétude et la clémence qu’Il leur accorde. Est-il digne d’un musulman qui entend l’appel du Mûadhin, qui l’appelle à se présenter entre les mains d’Allah, de ne pas répondre présent ? Ou bien qu’il préfère répondre à un autre appel lié aux biens de la vie…

Dans cette vidéo, cheikh Moncef Zenati répond à une question sur les limites de la rancune entre les musulmans. Rien ne vaut dans ce bas monde d’entacher la fraternité entre les musulmans, car c’est justement cette fraternité qui peut nous sauver dans l’au delà. Les musulmans doivent préserver l’unité car la division est une dure épreuve pour la communauté. Le premier pas vers l’unité et l’union est le fait de pardonner à ses frères et sœurs.

La jeunesse a toujours occupé une place particulière en islam. A de nombreuses reprises dans le Coran et la Sunna, Allah et Son Messager (saws) font l’éloge des jeunes. D’ailleurs, le Prophète (saws) s’est entouré de beaucoup de jeunes dès la Révélation. On imagine souvent les compagnons du Prophète (saws) comme des personnes âgées, or, les compagnons étaient majoritairement jeunes. A l’instar de Zoubayr ibn Al ‘awwam, Talha ibn ‘oubeydallah, Saad Ibn Abi Waqqas et bien d’autres… Cheikh Moncef Zenati développe ici les qualités de ces jeunes compagnons que l’on doit prendre pour modèles, puis donne 10 conseils aux jeunes musulmans.

Nous devons croire qu’après la reddition des comptes et la pesée des œuvres, les gens traverseront le pont jeté sur l’Enfer, appelé « As-Sirât ». La traversée de ce pont s’impose à tous les gens : les Prophètes, les véridiques, les croyants, les incroyants, ceux qui auront à rendre des comptes comme ceux qui en seront dispensés. Seul se maintiendra sur le pont celui qui dans le monde d’ici-bas se serait maintenu sur la voie de Dieu, qu’est la religion vraie. Nous lisons dans certains hadiths authentiques que la traversée de ce pont par les gens sera en fonction de leurs actes : Les uns le traverseront avec la rapidité des astres en chute, d’autres comme le vent, d’autres en un clin d’œil, d’autres comme un marcheur rapide. Celui qui n’a à son actif que peu de bonnes œuvres traversera le pont avec beaucoup de difficultés, en s’écroulant et en s’agrippant. Et ses flancs…

Le message du Prophète Mohammad (saws), une miséricorde pour toute l’humanité. Dieu dit : « Et nous ne t’avons envoyé qu’en miséricorde pour l’univers » (les prophètes : 107). Ainsi, établir cette miséricorde sur terre est l’une des finalités de l’islam. Cela implique que toute forme de corruption sur terre est interdite. Dieu en relatant les propos de Son prophète Shou’ayb : « Je ne veux que la réforme, autant que je le puis. Et ma réussite ne dépend que de Dieu » (11 : 88). Dieu dit également : « Et Moïse dit à Aaron son frère : « Remplace-moi auprès de mon peuple et agis en bien, et ne suis pas le sentier des corrupteurs » » (7 : 142), « Pharaon était hautain sur terre ; il répartit en clans ses habitants, afin d’abuser de la faiblesse de l’un d’eux : Il égorgeait leurs fils et laissait vivantes leurs femmes. Il était vraiment parmi les fauteurs de désordre » (28 : 4). Dieu en évoquant la loi divine que Shou’ayb apporta…